#WrestleSassari

Coup d'oeil sur le Matteo Pellicone de Sassari

By Eric Olanowski

SASSARI, Italie (le 20 mai) -- La Salle des Sports municipale de Sassari, la Palestra Comunale, située à quelques minutes des plages de sable sardes les plus proches, accueille du 23 au 25 mai prochain le troisième événement de série de classement de l'année de United World Wrestling, le tournoi Matteo Pellicone. Sur la longue liste liste des stars inscrites, quatre champions olympiques, 18 médaillés mondiaux, trois lutteurs classés No.1.

Les quatre athlètes champions ou championnes olympiques sont les médaillés d'or de Rio Soslan RAMONOV (RUS) et Erica WIEBE (CAN), de Londres KIM Hyeonwoo (KOR) et Natalia VOROBEVA (RUS).  

Seront également présents, par style, au moins cinq médaillés des derniers mondiaux de Budapest et trois lutteurs classés No.1.

La lutte libre et la lutte gréco-romaine accueillent chacune cinq médaillés mondiaux, dont deux médaillés d'argent. La lutte féminine accueille également deux médaillées d'argent, mais cette fois parmi huit médaillées des mondiaux 2018.

Le trio de tête du tournoi est formé par Suleyman ATLI (TUR), Fatih ERDIN (TUR) et Kim Hyeonwoo. Atli et Erdin sont No.1 de lutte libre en 57kg et 86kg respectivement et Kim No.1 de lutte gréco-romaine en 77kg.

Lutte Libre

Si les tableaux sont pleins de lutteurs de 1re classe mondiale et olympique, les regards seront braqués sur la superstar italienne Frank CHAMIZO. 

Chamizo, double champion du monde, tentera de rester sur sa lancée du championnat d'Europe du mois dernier, d'où il est reparti médaillé d'or. A Bucharest, Chamizo a parfaitement aligné quatre victoires de suite sans concéder aucune défaite et a décroché son troisième titre continental depuis son départ de Cuba en 2013.

Si l'Italien, né à Cuba, termine au sommet du podium des 74kg, ce sera le second titre de série de classement de sa carrière et son premier depuis sa victoire sur le champion olympique de Londres Jordan BURROUGHS (USA) en finale du Yasar Dogu l'année dernière. Plus important, obtenir le podium permettrait à Chamizo, classé quatrième mondial avec 56 points, d'avoir un avantage certain sur Burroughs au classement pour le quatrième et dernier événement de série de l'année, le Yasar Dogu.  

Chamizo devra se défaire de trois concurrents de classe mondiale : le dauphin des mondiaux 2017 Khetik TSABOLOV (RUS), le triple champion d'Europe Soner DEMIRTAS (TUR) et le double médaillé mondial de bronze Yakup GOR (TUR). 

Chamizo avait déjà vaincu Tsabolov et Gor lors de leurs précédentes rencontres et serait à son avantage en cas de nouveaux combats. Chamizo avait battu Gor au championnat du monde de Paris en 2017 et Tsabolov lors du championnat d'Europe 2018. 

Face à Demirtas cependant, Chamizo devra être très prudent, puisque Demirtas l'avait sorti du tapis en demi-finale du championnat d'Europe 2018 avant de décrocher son troisième titre continental.

Autre événement à suivre dans cette cette catégorie des 74kg, le placement des lutteurs turcs Demirtas et Gor. 

Demirtas a lutté pour la Turquie à cinq championnats du monde consécutifs et aux Jeux de Rio - médaille d'or - mais sa place n'en est pas moins sur la sellette. Gor, qui a rejoint les 74kg l'année dernière, a pris des mains de Demirtas sa place pour le championnat d'Europe cette année - mais n'a terminé que neuvième.

Rien d'officiel, mais il me semble que le lutteur qui finira le mieux placé au Matteo Pellicone cette année représentera la Turquie en 74kg aux Jeux Européens de Minsk en Biélorussie au mois de juin.

Toujours en lutte libre, les deux lutteurs turcs classés No.1 mondiaux Suleyman Atli et Fahti Erdin seront en première ligne. 

Atli, au sommet de la catégorie des 57kg, fera ses débuts en tant que premier mondial après avoir été sacré champion d'Europe le mois dernier à Bucarest en Roumanie. 

Atli en viendra aux mains avec l'Italien Givi DAVIDOVI, seul autre lutteur inscrit en 57kg. Davidovi, avec 16 points de classement, est classé 18me mondial pour le Matteo Pellicone, mais une victoire le catapulterait en huitième place, juste derrière le cinquième des mondiaux Thomas GILMAN (USA).

Les deux athlètes compteraient alors chacun 32 points et Gilman garderait la tête sur critères grâce à son résultat des mondiaux 2018.

Fatih Erdin est le second lutteur turc classé No.1 mondial.

Erdin tient quatre points d'avance sur le champion du monde en titre David TAYLOR (USA) et en aurait 100 s'il gagnait le Sassari en 86kg, s'assurant par là-même la tête de série No.1 du championnat du monde. Erdin aurait alors 20 points d'avance sur l'Américain, alors que celui-ci ne pourrait en acquérir au plus que 18 en remportant le Yargar Dogu (avec plus de 20 entrées dans sa catégorie). 

Mais Erdin, qui a échoué lors de ses deux dernières finales de série de classement, devra marcher sur des oeufs pour remporter son premier titre : il fera face soit au champion d'Europe en titre Vladislav VALIEV (RUS) soit au médaillé d'argent olympique Selim YASAR (TUR). 

Valiev, champion d'Europe des 86kg, est classé sixième mondial avec 34 points. Une place sur le podium lui assurerait la troisième place au classement. Si Valiev passe troisième, il rencontrera le champion du monde en titre David Taylor en demi-finale du championnat du monde de Nur Sultan. 

Selim Yasar cherchera lui aussi à détrôner Erdin.

Yasar est pourtant à la peine. Le triple médaillé mondial et médaillé olympique n'avait jusque-là qu'une seule fois fini hors du top 10 et c'était en 2013 au Ali Aliev... jusqu'à récemment : ses trois dernières participations se sont soldées par le même résultat : 10me, 11me et 14me au Ivan Yariguin, au Alexander Medved et au Dan Kolov respectivement. 

Champion olympique à Rio, Soslan RAMONOV (RUS) fera son retour en compétition internationale pour la première fois depuis une opération chirurgicale au dos en novembre 2018. (Photo : Gabor Martin)

Ramonov revient à la compétition internationale
Champion olympique à Rio, Soslan RAMONOV (RUS) fera son retour en compétition internationale pour la première fois depuis une opération chirurgicale au dos subie en novembre 2018.

Ramonov a déclaré à United World Wrestling : “Je suis remonté sur le tapis. Je combattrai au championnat de Russie et, probablement, au championnat du monde". “J'espérais faire mon retour dès janvier et m'inscrire, vers l'automne, en 65kg pour un tournoi.” Mais il ne lutte pas encore avec les 65kg. Cette semaine en Sardaigne, c'est avec les 70kg qu'il combattra, pour redescendre en 65kg à l'occasion du championnat russe du mois de juillet.

Pour que Ramonov représente la Russie à Nur Sultan, il devra se montrer le plus fort dans une catégorie réputée pour sa difficulté : les 65kg comptent parmi eux le médaillé mondial de bronze Akhmed Chakaev, le double médaillé mondial d'argent des 61kg Gazhimurad RASHIDOV (RUS) et le dauphin du Yariguin Nachyin KUULAR. 

Autres médaillés mondiaux de Budapest : 
92kg - Alireza KARIMIMACHIANI (IRI) 
125kg - Parviz HADIBASMANJ (IRI) 

Lutte Gréco-Romaine

Le champion olympique coréen et classé No.1 mondial Hyeonwoo est au sommet de la liste des inscrits, parmi cinq médaillés des mondiaux de Budapest.

Kim est le seul lutteur tous styles confondus médaillé à la fois au championnat du monde, au championnat continental et aux deux premiers événements de série de classement.

Premier mondial de la catégorie des 77kg, il a été médaillé de bronze au dernier championnat du monde. Le Coréen a sécurisé sa position au sommet de la lutte asiatique en remportant le mois dernier son cinquième titre continental au championnat d'Asie Xi’an en Chine. Il a également ajouté à son tableau deux médailles de bronze en événements de série de classement (Open de Zagreb et Grand Prix de Hongrie). 

Division hongroise complète en 87kg 

La Hongrie, qui avait préféré laisser sur le banc du championnat d'Europe la majorité de ses lutteurs principaux, vient en Sardaigne armée jusqu'aux dents. Leur équipe comprend - entre autres - les médaillés mondiaux d'argent 2018 Balint KORPASI et Tamas LORINCZ, le champion du monde des U23 Erik SZILVASSY et le double vainqueur d'événements de série de classement (ESC) Viktor LORINCZ. 

Korpasi et Tamas Lorincz sont inscrits en 72kg et 77kg respectivement, mais Szilvassy et Viktor Lorincz concourront en 87kg. 

Szilvassy et Lorincz entrés dans la même catégorie, la Hongrie aura un gros problème pour savoir qui envoyer au championnat d'Europe et au championnat du monde.

Szilvassy, récente médaille de bronze au championnat d'Europe, est classé troisième mondial des 87kg. Szilvassy a 8 points d'avance sur Viktor Lorincz, classé cinquième avec 36 points.

Bien que Szilvassy précède Lorincz au dernier classement, ce dernier l'a vaincu lors des deux dernières demi-finales d'ESC, celles de l'Open de Zagreb et le Grand Prix de Hongrie.

Lutte Féminine 

La catégorie qui fait les titres en lutte féminine est celle des 76kg : s'y retrouveront la Canadienne et championne olympique de Rio Erica Wiebe, la Russe et championne olympique de Londres Natalia Vorobeva et neuf des lutteuses du top 20 mondial. Encore plus impressionnant, six d'entre elles font partie des 10 meilleures mondiales du classement de l'UWW.

La lutteuse la mieux classée pour le Matteo Pellicone est l'Allemande dauphine du championnat du monde 2017 Aline ROTTER FOCKEN (GER). Rotter Focken est classée quatrième avec 56 points et vient de récolter le bronze au championnat d'Europe, au Dan Kolov et au Ivan Yariguin. 

Venue du Kazakhstan, Elmira SYZDYKOVA est classée cinquième avec 42 points après avoir aussi remporté le bronze du Dan Kolov et du Ivan Yariguin. 

La championne olympique Erica Wiebe, médaille de bronze au championnat du monde de Budapest l'année passée, a concédé la défaite face à la No.1 mondiale Adeline GRAY (USA) lors du championnat panaméricain. La Canadienne est classée sixième mondiale avec 39 points.

Zsanett NEMETH (HUN) vient à Sassari classée septième mondiale avec 36 points et fraîchement médaillée de bronze du championnat d'Europe, un mois après s'être blessée pendant le combat pour la médaille de bronze au championnat du monde où elle a dû se contenter, à domicile, d'une cinquième place.

L'Estonienne Epp MAE et la Norvégienne Iselin SOLHEIM ferment la marche des représentantes du top 10, classées huit et neuvième respectivement. 

Lutteuses présentes classées dans le top 20 - 76kg 
No. 4 Aline ROTTER FOCKEN (GER) 
No. 5  Elmira SYZDYKOVA (KAZ) 
No. 6 Erica WIEBE (CAN) 
No. 7 Zsanett NEMETH (HUN) 
No. 8 Epp MAE (EST) 
No. 10 Iselin Maria Moen SOLHEIM (NOR)
No. 15 Genesis Rosangela REASCO VALDEZ (ECU) 
No. 19 Vasilisa MARZALIUK
No. 20  Eunju HWANG (KOR) 

Barka et Dhanda en 57kg 

Chez les 57kg, les médaillées mondiales de bronze Emese BARKA (HUN) et Pooja DHANDA (IND) sont attendues à Sassari. Barka est classée cinquième mondiale suite à son titre européen du mois passé, obtenu par 4-2 sur l'Ukrainienne Tetyana KIT (UKR). 

Dhanda, cinquième du championnat d'Asie, suit Barka en sixième position du classement mondial avec 37 points. Dhanda a concédé la demi-finale du championnat d'Asie face à la championne du monde en titre et classée No.1 mondiale RONG Ningning (CHN), puis a déclaré forfait pour son combat de médaille de bronze contre la huitième mondiale SUKHEE Tserenchimed (MGL). 

La championne du monde des U23 Grace BULLEN (NOR) et la médaillée mondiale 2017 Odunayo ADEKUOROYE (NGR), même si elles n'ont pas obtenu de médaille au championnat du monde 2018, restent de très sérieuses adversaires dans la catégorie des 57kg.

Bullen est classée troisième mondiale avec 58 points, Adekuoroye quatrième avec 46 points. 

Mensah à la poursuite de son troisième titre consécutif en ESC

Tamyra MENSAH (USA) arrive à Sassari invaincue, médaillée d'or du Ivan Yariguin, du Dan Kolov et du championnat panaméricain. Son doublé en ESC et son titre continental suivent sa médaille de bronze des mondiaux 2018. Avec 59 points, elle est classée deuxième mondiale des 68kg.

Pour un troisième titre en ESC, Mensah devra vaincre la prétendante canadienne Danielle LAPPAGE. 

Lappage, dauphine du championnat du monde l'année dernière avec les 65kg, rejoindra pour la seconde fois de sa carrière la catégorie des 68kg depuis cette médaille d'argent - elle avait aussi décroché la médaille d'argent du Grand Prix d'Allemagne dans cette catégorie.

Trois autres médaillées olympiques sur les tapis 

En plus des deux championnes olympiques inscrites en 76kg, trois autres médaillées des JO seront en compétition : Marwa AMRI (TUN), Jenny FRANSSON (SWE) et Sofia MATTSSON (SWE). 

Amri, classée 12me mondiale, sera en 62kg. La Tunisienne vient de décrocher son dixième championnat d'Afrique. 

Fransson, classée 13me mondiale des 68kg, vient de décrocher le bronze au championnat d'Europe, mais concourra avec les 72kg. 

Mattsson, 10me mondiale, luttera en 55kg. 

Le retour de Koumba Larroque 

Koumba LARROQUE, la Française quadruple championne du monde cadet/junior et deux fois médaillée mondiale senior, remontera pour la première fois sur les tapis depuis son échec en finale des mondiaux de Budapest face à l'Ukrainienne Alla CHERKASOVA. Larroque menait pourtant par 6-0 avant un croisillon qui lui déchira les ligaments du genou, suivi d'une opération et de six mois de repos forcé.

Larroque est entrée en 72kg et est classée cinquième de la catégorie avec 40 points. 

Autres médaillées mondiales 2018 à suivre : 
53kg - Diana WEICKER (CAN) 
62kg - Mallory VELTE (USA) 

Le Matteo Pellicone Memorial ouvrira ses rideaux à Sassari le 23 mai sur la compétition de lutte gréco-romaine. La lutte féminine prendra le pas vendredi, suivie de la lutte libre en fin de tournoi le 25 mai. Les combats sont diffusés en direct sur www.unitedworldwrestling.org. 

#development

La Macédoine du Nord accueille un cours pour entraîneurs et arbitres et met en place un programme pour les femmes

By United World Wrestling Press

SKOPJE, Macédoine du Nord (9 mai) -- United World Wrestling a organisé le cours pour arbitres et entraîneurs en Macédoine du Nord du 2 au 9 mai 2022. Le cours s'est déroulé sous la direction du département développement d'UWW et des éducateurs Davor PETANJEK (CRO) et Georgi SREDIKOV (BUL) à Kochani, une ville située à l'est de la capitale Skopje.

La macédoine du Nord va désormais mettre en oeuvre un programme dédié à la lutte féminine qui constitue un élément significative de la stratégie UWW 2022-2026. Le programme contribuera à la prochaine étape des camps d'entraînement nationaux consacrés à la lutte féminine en Macédoine.

Une compétition s'est également tenue pour les lutteurs U17 après le cours pour évaluer les arbitres et entraîneurs, les éducateurs ont constaté une amélioration significative.

macedoniaLe cours pour arbitres et entraîneurs s'est déroulé du 2 au 9 mai.

"Ce cours était un gros projet pour nous," a déclaré Dragana Saveva, secrétaire de la Fédération de lutte de Macédoine du Nord. "Nous avons eu la chance d'apprendre des meilleurs, je ne peux décrire les changements positifs qu'ils ont apporté à nos entraîneurs et arbitres. Ils ont appris quelque chose de nouveau et ont amélioré leurs connaissances et leurs compétences."

Le cours a servi pour montré les dernières règles et les systèmes aux arbitres tandis que les entraîneurs ont appris des méthodes positives pour motiver les lutteurs, améliorer la communication et comprendre la lutte facilement.

"j'aimerais remercier les éducateurs, UWW et la Solidarité Olympique de nous avoir aider à nous améliorer  à bien des égards dans le cadre de ce projet," a déclaré Dragana Saveva.

La fédération nationale a soumis une proposition officielle visant à augmenter la participation des filles en lutte parallèlement à une promotion active de la lutte féminine dans le pays. L'autre objectif de la fédération sera d'améliorer les conditions d'entraînement des lutteuses pour la saison 2022.

La fédération de lutte, sous la direction d'UWW, éduquera également des lutteuses en leur fournissant des informations sur les bourses, les avantages, les tournois et les camps disponibles. UWW développera les compétences des lutteurs et mettra l'accent sur la santé positive, l'esprit d'équipe et la confiance en soi.

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Les éducateurs UWW Davor PETANJEK (CRO), à gauche, et Georgi SREDIKOV (BUL).

Le programme ciblera 22 clubs locaux et quelques écoles pour encourager davantage de filles à participer à la lutte. La fédération organisera cinq camps dans cinq villes différentes : Prilep, Kochani, Shtip, Skopje et Radovish. des maillots pour les lutteur, de l'équipement sportif et d'autres kits de sport seront financés par la fédération.

L'objectif de la fédération est d'avoir une équipe d'entraîneurs expérimentés pour la lutte féminine et une équipe de 100 lutteuses pour la compétition au niveau national, et, à terme, de remporter des succès aux championnats européens et des Balkans.

En dehors du tapis, la fédération nationale s'attache à élaborer des politiques et des cadres juridiques efficaces et favorables à la promotion de l'égalité des genres et des droits des femmes.

La Macédoine est l'une des nations à la croissance la plus rapide en matière de lutte féminine depuis l'année dernière, alors que le sport a pris racine il y a environ une décennie. En 2022,  In 2022, la lutte féminine a démontré sa septième année consécutive de croissance au niveau national avec plus de 100 participants de huit clubs de lutte locaux. Le pays a déjà accueilli 15 camps de lutte et des championnats locaux et nationaux dans toutes les catégories d'âge, a gagné des médailles en lutte féminine aux championnats européens et des Balkans .

wrestling

La participation croissante des filles en lutte peut avoir un impact positif sur la fréquentation, l'engagement, les opportunités pour les filles et les camps. Le sport donne aussi des occasions pour filles et aide les lutteuses à s'établir dans la communité locale, garantit que les filles peuvent lutter avec des filles, réduit les risques de blessure et augmente le soutien à différents clubs et ont des étudiants-athlètes plus actifs.

Augmenter le nombre de filles en lutte permettra aux filles de lutter avec des filles au lieu d'être obligées de lutter contre des garçons. C'est important en termes de d'idéaux de fair-play ainsi que du point de vue de la sécurité. Cela renforce également l'idée que la lutte peut être soutenue par le pays et attirer davantage de sponsors.